Histoire : Retour sur le passé en zoothérapie – médiation animale

Histoire : Retour sur le passé en zoothérapie – médiation animale

Histoire : Retour sur le passé en zoothérapie

Retour sur le passé en zoothérapie : il y’a 15 ans, Baudouin réalisait la première séance (de zoothérapie à l’époque) de l’AFTAA (qui à l’époque s’appelait “AZP”, mais cela, c’est une autre histoire !).

Après avoir remarqué l’impact d’un chien comme médiateur de travail, Vanie a été la première chienne de travail de l’AFTAA issue de l’École de Chiens Guides de Paris.

Depuis nos valeurs sont les mêmes, accompagner au mieux vos proches, vos résidents, vos enfants … autour d’objectifs de travail précis, via la passion de nos (désormais) nombreux chiens.

L’Association Française de Thérapie Assistée par l’Animal (AFTAA) a été créée à l’initiative de Baudouin DURIEZ en mai 2006.

Initialement établie sous le nom d’Association de Zoothérapie de Paris (AZP), puisqu’implantée en région parisienne. Elle a su évoluer au fil des années pour devenir l’AFTAA en janvier 2014. Une association qui se développe à présent dans plusieurs régions de France.

Baudouin DURIEZ a d’abord travaillé pour différentes écoles de chiens guides entre 2003 et 2005. Il acquière ainsi les bases techniques d’éducation canine. Au cours de ces années passées dans ce milieu, il a pris conscience que le chien était non seulement le lien indispensable auprès des non-voyants pour l’aide à la mobilité. Mais également une présence affective essentielle. Le chien devient plus que « les yeux de son maître », il est son ami, son confident.

Après une formation de zoothérapeute, Baudouin DURIEZ a pensé, puis créé l’AZP. Devenue plus tard AFTAA, pour faire découvrir à un public élargi les bienfaits de la zoothérapie. Il entend, avec l’aide de sa chienne Vanie, et de sa propre expérience, utiliser les liens affectifs existants entre l’Homme et l’Animal. Pour ainsi développer et maintenir la qualité de vie des patients, encourager l’ouverture aux autres. Mais aussi rompre l’isolement et favoriser les relations sociales et enfin, entretenir l’activité physique et diminuer le sentiment de handicap.

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